Des informations sur la prestation d’aidant familial simple et la PCH qui peuvent vous être utiles

 

La prestation d’aidant familial simple est considérée comme un salaire pour la personne qui s’occupe de la personne handicapée, par exemple : mère/père et autre personne.

Il faut la déclarer comme un salaire sur la ligne (1bj) de la déclaration d’impôt

Il faut demander a la DGA solidarité /DPAAH du département où nous habitons une attestation PCH aidant familial.

 

M.G. de Meaux

Une formation pour mieux comprendre nos enfants

Organisation de séminaires de formation sur les fonctions cognitives chez l »enfant.

Cette formation est destinée aux associations de malades, de personnes handicapées et de leurs familles. La formation dure une journée.

Prochaines dates:

15/01/2013
13/02/2013
19/03/2013
15/05/2013
17/06/2013

Un membre de notre association y a participé et a trouvé la journée passionnante.

Pas de frais d »inscription. Possiblité de prise en charge des frais de transports.

Pour plus d »informations voir le document ci-après :

http://www.prader-willi.fr/wp-content/uploads/SeminaireFCE.pdf

Aide au transport, conseil pratique

Pour l’accompagnant d’une personne en situation de handicap porteuse d’une carte d’invalidité avec la mention besoin d’accompagnement, le billet de train est gratuit. Pour les trains à réservation obligatoire, l’accompagnant acquitte seulement le coût de la réservation ( 1,50 euro généralement)

 

Pour obtenir la carte d »invalidité avec la mention nécessaire, il convient de faire la demande auprès de la MDPH

Sur le formulaire de demande, page 6, cadre E

Demande de cartes

Cocher la case  Carte d’Invalidité avec mention besoin d’accompagnement

 

Les personnes en possession de cette carte, devraient pouvoir bénéficier de facilités dans les transports urbains ou autres également. Il appartient à chacun, selon sa situation et ses besoins, de se renseigner auprès du transporteur ou de l’autorité organisatrice des transports ( STIF, RATP pour la région parisienne par exemple)

FIRST YEARS – SIEGE REPAS PIVOTANT : LA SOLUTION POUR NOS BEBES

Siége bébé adapté

Antoine

Maman d’Arthur et Antoine, jumeaux Prader Willi, j’ai voulu vous faire partager ma découverte : J’ai trouvé un siège idéal pour nos enfants, conseillé par la kiné et psychomot du CAMSP.
Il est super évolutif : de la naissance à 4 ans !
Il est rigide et permet donc une excellente tenue du dos. Il s’incline parfaitement (comme un transat) avec l’avantage de rester rigide.
Plus votre enfant progresse, plus vous pouvez le redresser en position assise.
La tablette permet à nos enfants de jouer avec leurs jouets tranquillement et en position assise, ce qui n’est pas possible autrement.
Cela leur musclera le dos et la colonne de manière efficace.
De plus, ce siège peut au départ être utilisé au sol, il ne glisse pas grâce à ses pieds ultra adhérents et permet une excellente stabilité.
Par la suite, vous pouvez l’attacher sur une chaise pour que l’enfant soit à votre hauteur.
De plus, finies les contorsions pour installer bébé dans son siège rehausseur au moment du repas. Ce siège pivote pour permettre une installation facile.
Siège bébé adapté

Arthur

Le site ne met pas de liens commerciaux dans l »immédiat.
Si vous ne trouvez pas ce siège près de chez vous
Contactez Caroline la maman d »Antoine et Arthur : [email protected]

Récupération des aides

La récupération des aides serait désormais exceptionnelle.

Depuis les réformes de 2002 et 2005, si une personne handicapée reçoit une donation ou un héritage, ou plus généralement si sa situation financière s »améliore, le département ne peut lui demander de rembourser que les aides à domicile qu »il lui a éventuellement versées.

Aucune autre aide ou allocation n »est sujette à récupération. Au décès de la personne handicapée, seules l »aide sociale à l »hébergement en établissement et les aides à domicile peuvent être récupérées auprès de ses héritiers et légataires, si la succession dépasse 46 000 €.

Mais rien ne peut être réclamé à ce titre aux père et mère, conjoint ou enfants du défunt, ni à toute personne, frère, soeur ou autre, qui prouve avoir assumé la charge « effective et constante » du défunt. Selon la jurisprudence, il s »agit de la charge « affective, relationnelle et morale » même sans implications financières

Plus d »information à venir. A suivre !